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Taïga ~ [FINI ~]

Taïga
Taïga
Messages : 43
Date d'inscription : 19/01/2014
Localisation : Toujours à proximité d'un instrument de musique.

Feuille de personnage
Âge: 21 ans.
Entrave: Peur d'être vulnérable
Métier: Psychologue
http://justibellae.skyrock.com/
MessageSujet: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyDim 19 Jan - 20:21


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Taïga


SEXE : Femme.
NATIONALITE : Polonaise.
ÂGE : 21 ans.
LIEU D'HABITATION : Habitation.
POSTE : Psychologue.
RELIGION : Catholique non pratiquante.
MAISON :La maison est de taille moyenne, les murs sont d'une couleur blanche avec une toiture sombre. Toutefois, l'extérieur est serpenté par des lierres, accentuant l'aspect campagnard de l'habitat.
L'intérieur quand à lui, est totalement différent, reflétant en tout point la personnalité du personnage.
Les couleurs dominantes de la maison sont de nuance très sombre, et ce dès le palier. La porte d'entrée est plutôt classique, mais c'était bien la dernière...
Juste à l'entrée, une commode en bois de chêne vernis est contre le mur du côté droit, avec un vase où se trouve un bouquet de fleurs sauvages. Accroché au mur, un tableau représentant un groupe de musique prend toute la place. Quand au côté gauche, il y a le porte manteau  très voluptueux et débordant de veste, manteaux ou écharpes. Le parquet est plutôt foncée et le mur est recouverte d'une peinture noir, avec quelques motifs rouge sang dotées de courbes et de fleurs. Juste après le palier, se trouve le salon fusionné avec la cuisine. Des guitares sont accrochés au mur, allant de la sèche à l'électrique. Peut être y avait-il une bonne dizaine entre le salon et la chambre à l'étage ? Nulle ne le sait, car leur emplacement change sans cesse. Le salon contient des terrariums de jeunes tortues terrestres et d'eau, jonchant toute la partie latéral côté gauche sous les deux fenêtres qui donnaient vue à la rue. La couleur des murs sont en papier peint sombre, avec une douce moquette qui donne plus l'impression d'être un doux tapis très confortable et donnant envie d'y dormir. Un canapé rouge est au centre de la pièce, avec une table basse remplie de partitions, de livres et de notes en désordre. Au fond droit devant, se situ un joli fauteuil en cuir noir juste à côté d'une bibliothèque. Quand au reste du côté droit, la cuisine y prend place.

En montant les escaliers, nous accédons enfin à ma chambre et la salle de bain.
Cette dernière est classique, comportant une douche et une baignoire et toute la panoplie habituelle.
Ma chambre est celle où je place le plus clair de mon temps, le parquet est noire tout comme le mur. Au fond de la pièce, se trouve mon lit a double places.  
Mon bureau est a droite et toute ma chambre est... En bazar.

LIEU DE TRAVAIL : Mon cabinet est au centre du village, je n'ai pas de secrétaire et je reçois les personnes en rendez-vous. Mais j'accepte sans discuter, ceux ou celles qui viennent à l'improviste ou en urgence. Toutefois, il m'arrive parfois qu'au souhait de quelques personnes, je me rende chez eux pour qu'ils se sentent à l'aise, ou bien chez moi.
Mon cabinet quant à lui, est une assez grande pièce, avec deux fenêtres presque fermés pour une lumière tamisée. A l'intérieur se trouve un canapé au centre, un bureau au fond avec divers objets. Les murs sont de couleur bleu marine pailleté avec un parquet vernis en bois sombre, donnant l'impression d'avoir plus d'espace lors de la nuit tombée. C'était très joli. Dans un coin de la pièce, divers jouets et ateliers pour les jeunes enfants jonche le sol avec un petit lit pour s'y reposer. Un piano est juste derrière mon bureau, et une guitare est accrochée au mur, suivit de quelques autres instruments à corde ou à vent. Tout était très bien rangé et organisé, ce qui était rare chez moi.

Malgré la taille de la pièce, elle est très bien remplie, laissant tout de même assez d'espace pour ne pas gêner les personnes atteintes de Claustrophobie. Et je recevais les gens de tout âge, tout le village en fait. Les aidant et les accompagnants... je ne sais pas pourquoi, mais je sais que depuis toute jeune, j'ai ce sentiment de vouloir aider les gens, et qu'importe ce qu'il m'en coûte. Ce me fait plaisir.



Il était une fois...

Même si j'ai perdu la boule en atterrissant au village, j'ai quand même retrouvé des souvenirs. Tout comme la plus part des villageois, ça reste vague... Quoique ?

¤ " C'était un soir en été, au beau milieu d'un petit village perdu dans la cambrousse. A l'époque j'étais une jeune adolescente, et veillais sur l'ordinateur dans une chambre vide. Je tremblais, mais une mine neutre demeure sur mon visage marqué par des cernes. Seule la musique résonne dans la pièce, mais elle est bientôt perturbée par de lointains éclats de voix. Puis des bruits de pas précipités et lourds gravissant les escaliers, sont captés par mes tympans. A peine une fraction de seconde plus tard, la porte de ma chambre s'ouvre en volée. Je sursaute et fait volte-face sur moi-même, écarquillant les yeux de stupeur.

_ Mais qu'est-ce que tu fais là ?! m'exclamé-je, sors tout de suite de ma chambre !

Un garçon à peine plus jeune que moi me regarde, les yeux injectés de sang tellement il est éprit d'une rage noire. Il venait juste de se disputer avec mon père, je le sais puisque j'y étais avant de m'enfermer dans ma chambre afin d'être plus tranquille. Mais maintenant c'est trop tard, je vais encore avoir des problèmes.
Il respire d'une manière haletante, son corps tremble et ayant le visage rouge de furie et les traits tirés par la colère. Mon frère... ça ?

_ Pourquoi tu ne viens pas jouer avec nous au Monopoly ?! Tu ne veux jamais rester avec nous ! Tu préfères écrire ta merde et jouer tes stupides trucs de guitare !! C'est encore de ta faute, de ta faute si on passe une mauvaise soirée ! T'es comme ta mère !! hurle-t-il en se rapprochant dangereusement.

Mon cœur commence à battre la chamade, mon souffle est coupé et mon tremblement s'aggrave, pourquoi ? J'ai peur, je ne veux pas qu'il m'agresse mais je ne peux pas me laisser faire. Et puis si je lui retourne un coup ça va retomber sur moi... je dois le retenir puis le faire sortir de ma chambre. Et appeler mon père si ça empire, j'espère qu'il y mettra un terme.

_ Tu dégages, laisse-moi tranquille ! le foudroie-je du regard en me redressant.

Il s'énerve encore plus en me sautant dessus, me percutant de plein fouet. Plus aucunes pensées, ou juste : " Sors de ma chambre ! Arrête ! ". Une douleur au buste me tenaille les nerfs, une pression telle un brasier ardent fuse mon œsophage et parcourt mes veines. Je reçois un coup à la joue, et une autre aux côtes, je n'arrive plus à respirer et je tremble de plus en plus. J'attrape les poignets à mon petit frère afin de le maintenir à l'écart et le plaque dos au lit, mais il se débat violemment et essaye de me mordre à sang et hurlant de toute ses tripes.

_ Lâche-moi ! Lâche-moi !! T'es qu'une salope ! Tu ne penses qu'à sauter tout le monde, tu t'en fous de nous !! Lâche-moi espèce de-...
_ La ferme ! Je ne te lâche que si tu te calme, je veux que tu sortes de ma chambre ! Et tu sais très bien que je ne fais pas ça ! Ne m'insulte pas !! le coupé-je en le repoussant au milieu de ma chambre.

Il m'avait agrippé le poignet, me blessant ainsi quand je le pousse pour mettre de l'écart. Il fait mine de tomber sur le parquet, profitant de ce moment pour faire tomber mes écritures de la table de chevet, comme-ci j'avais beaucoup plus de forces que lui. Pendant une seconde il avait la tête baissé et se redresse d'un seul coup, tenant un livre à la main. Il me jette un regard hostile, et remplit de haine.

_ T'as osé faire quoi là ? Tu m'as fais mal ! s'écrie-t-il avant de me balancer le roman.

Je reçois l'objet sur le ventre, mais je ne me replie pas en deux malgré la douleur. Puis il me saute dessus mais, je le réceptionne en chopant ses bras. Il se débat de nouveau, réussissant à me frapper de temps à autre. Ne pouvant plus continuer, j'interpelle mon père à l'étage d'en dessous en gémissant presque de douleur.

_ Papa ! Dis à Nikolaï de descendre s'il te plaît ! (pas de réponse mais je retente une nouvelle fois) Papa !!
_ Débrouillez-vous tous les deux ! J'en ai marre de m'occuper de vos disputes ! me répond-t-il froidement d'en bas.
_ Vas-y fait toi passer pour la victime, tu n'arrêtes pas de mentir. T'es comme ta mère ! m'interpelle mon jeune frère.

Je reporte mon attention à mon frère qui était un peu plus loin, mais très menaçant. Je le foudroie du regard, très en colère contre lui.

_ Ma mère c'est la tienne aussi, t'es vraiment stupide.
_ Tout est de sa faute ! Ce n’est pas ma mère, ta mère c'est une connasse ! Tu ne vaux pas mieux qu'elle ! dit-il en chopant mon téléphone.

Une douleur hallucinante me tenaille le cœur, il semble envoyer des messages. Je m'étais précipitée sur lui pour reprendre mon portable, j'y parviens mais pas tout de suite. Il m'avait donné des coups de pieds à des endroits du corps, mais j'ai quand même réussi à le récupérer. Je ne sais plus par quel miracle il sort de ma chambre, mais j'étais de nouveau seule. C'était un silence, lourd et de nouveau calme...
J'étais de nouveau retournée à mon lit... mais à quel prix ? Mes guitares étaient toutes tombées, du sang s’écoule de mon poignet mais je n'y prends cure. J'avais les yeux grands ouverts, ne pensant plus à rien... le trou noir ?

_ Je... n’est suis tout ce que je parviens à articuler avant de sentir des larmes bouillantes couler de mes yeux.

Mon cœur se brisait, des pensées fusent de mon esprit. Pourquoi ? Mais qu'ai-je fait ? Je revoyais le visage furieux et haineux de mon frère, avait-il raison ? Une image me revient à l'esprit, celle de sa posture en me hurlant de me tuer et courant après moi en ayant une arme blanche dans les mains. Et puis ma mère ? Qu'a-t-elle fait ? Justement, rien !
Cette fois c'en est de trop, j'avais l'impression de craquer. Ma respiration était irrégulière, je n'y parvenais plus. Mon cœur faisait office de bombe atomique, ce n'était plus des tremblements mais des convulsions. Je ne voyais plus rien, juste cette horrible douleur et néant en moi. Pourtant Il n'était pas là... mais qui est là justement ?

_ Je ne peux pas..!! gémissé-je recroquevillée.

Ne pouvant plus supporter cette horrible douleur, j'accourais dans la salle de bain juste à côté de ma chambre. Je jette toutes les affaires, et empoigne le rasoir d'un de mes grands frères. Mais je me stoppe, pleurant à chaudes larmes, il ne fallait pas, non il ne fallait pas !

_ Mais je n’en peux plus de cette douleur... je suis seule.. toute seule...

Puis l'image de mon frère réapparaît, de violentes disputes et quand il a voulu me planter ce fameux couteau... des trous noirs... C'en est de trop. Alors je fermais les yeux, levais mon avant-bras droit et me tenaillais violemment la peau avec la double lame. Je ne comptais pas le nombre de fois où j’ai effectué ce geste. Je n'avais pas ouvert les yeux, me sentant submerger et craquer. Faire ressortir cette stupéfiante douleur noire, je n'en pouvais plus d'accumuler depuis des années.
Au bout de cinq minutes, je n'arrivais plus à retenir mes sons de douleur physique et psychique. Alors je m'écroulais sur le bord du lavabo, regardant mon bras. Il baignait dans le sang, toute la partie du poignet au coude étaient littéralement recouverte d'entaille. Peut-être une trentaine ou quarantaine ? J'avais relâché le rasoir, tellement j'avais mal... je n'arrivais plus à tenir debout et une migraine s'abattait sur moi. Puis j’entends mon père monter les marches,... j'avais tellement mal... noire... Que se passe-t-il...?
"

Puis il y en avait une autre... mais plus vague.

¤ " J'étais une enfant à l'école personne ne me parlait mais qu'importe ? Mon frère et moi avions fait une bêtise. Ne voulant pas porter le chapeau, j'ai fait accuser mes deux petites sœurs à ma belle-mère. Mais celle-ci s'énerve et nous gifle, puis elle nous met en sous-vêtement moi et mon petit frère. On pleurait, mais elle nous aligne le long de la table du salon, penché dessus. Puis juste après avoir été chercher une ceinture en cuir de mon père, elle nous fouettait violemment le dos. Étant la plus loin, je recevais la boucle de métal rouillée en plus, ça faisait très mal, Trou noir.
Je me souviens d'une dernière chose, celle où elle m'avait enfermé dans ma chambre, l'armoire bloquée contre ma porte afin de m'empêcher de sortir. Je paniquais et hurlais, mon frère se débattait des bras de ma belle-mère, afin de me "sauver ", encore trou noir.

... Si je n'avais pas fait porter le chapeau, tout ça ne serait pas arrivé. C'est une fois de plus de ma faute...
"

Il en restait encore une... mais.. je crois que c'est celle qui m'a fait reculer...

¤ " J'étais plus âgée que mes autres souvenirs, sûrement à la fin de mon adolescence. Au lycée, j'habitais chez ma mère. Mais ce n'était pas vraiment la joie, et une scène me revient. En bas dans le salon, ma mère au téléphone et criant contre... une personne qui m'étais très chère mais que ma famille n'acceptait pas. Il est le seul qui m'écoutait et que j'aime, étant dans tous ces états lui aussi. Elle m'a privée de lui définitivement, et je lui parlais ... je lui avais dit " je t'aime " une dernière fois. Un trou.. une lourdeur.. Une horrible douleur à l'intérieure... Suis-je seule...? "

Une chanson à la guitare... et une voix disparue...

Ces souvenirs je les revois quand je suis seule le soir, en fait j'y pense tout le temps. Il m'en arrive quand je vis des scènes qui me choquent à Espérance ou dans le Reflet... c'est variable. Ils me font tellement peur...





Ils vécurent heureux et...

« C’était il y a… bientôt.. euh.. il y a pas mal de temps en tous cas.
La première image qui me revient, c’est la vision de parois blindées et froides m’encerclant dans un espace confiné. Le sol vibre désagréablement, les objets se balancent dans tous les sens à cause des virages brusques du véhicule. Je suis allongée sur le côté, poignets liés dans mon dos par des cordes mordant ma peau.
Il n’y a personne dans mon champ de vision, mais je soupçonne deux individus en train de conduire la camionnette. Je viens tout juste de sortir de mon inconscience, me tête est victime d’une migraine atroce… mais que s’est-il passé ?
Je me redresse avec difficulté pour être en tailleur, afin d’évaluer la situation. Tout ce dont je me souviens, c’est d’avoir reçu un violent coup à la tête en pleine rue alors que… que… que quoi d’ailleurs ? Ben trou noir justement, après c’est le moment présent qui le vient à l’esprit.

_ Ca ressemble à un enlèvement en tous cas… chuchoté-je pour moi-même.

Ca n’y ressemble pas, c’en est un justement ! Et rien qu’en évaluant l’état de mon corps, ce ne sont pas des agneaux. J’ai la tête aussi douloureuse qu’un fer chauffé à blanc, chaque bruit résonne en écho dans mon crâne… quelle horreur. Des hématomes jonchent quelques endroits de mon corps, si j’exclue le sang séché qui a dégouliné de mon crâne… j’ai sûrement été frappée par un objet contendant. Mais combien de temps s’est-il passé depuis mon enlèvement ? Et où m’emmène-t-on ?

_ Chacal est déjà au point de rendez-vous, le problème des douaniers est maintenant réglé, déclare une voix rauque et enrouée.
_ Hannibal nous attend depuis deux jours quand même… il veut que son futur foi reste en bon état. La marchandise ne doit pas trop être amochée, sinon c’est la zigouille pour nous mec, répond une autre voix plus vielle et rude.

Chacal et Hannibal… ? Sûrement des noms de code, mais c’est foutrement glauque. Et si je suis la logique, je suis une espèce de-… merde, il est fort probable que je sois victime de trafic d’organe. Il faut absolument que je me tire de là !
Je secoue la tête pour me reprendre, et inspecte les lieux pour pouvoir trouver quelque chose afin de me permettre de... me libérer bien évidemment. Mais en ayant les mains liées ce n’est pas très pratique, et même si je voulais sauter du véhicule malgré la vitesse… la porte en acier est fermée à double tour. Toutefois, je ressens que le blindé ralentit petit à petit jusqu’à s’arrêter pour de bon. Instinctivement, je me rallonge et prends une position détendue comme si j’étais inconsciente, mais en étant plus proche de la porte. Mon cœur bat la chamade à cause de l’adrénaline, et mon corps peine à cacher ses tremblements. Mais il ne faut surtout pas que je me fasse griller si je veux m’échapper, car tout m’indique d’après le bruit de portière qu’ils vont ouvrir ma porte. Je ferme les yeux, et me concentre sur leurs paroles.

_ Nous n’avons presque plus d’essence, je vais récupérer un baril à l’arrière. Je reviens, déclare le plus jeune (donc ça doit sûrement être celui qui est à la place du passager…) en descendant.
_ Attends, l’interpelle son partenaire, fait gaffe à la gamine si elle s’est réveillée ou pas.
_ T’inquiète pas, je n’ai rien entendu. Donc elle doit toujours être dans les vapes, je vais faire vite de toute façon.

Je dois me retenir pour ne pas afficher un sourire en coin diabolique, étrangement je n’ai pas peur… bizarre.
Après être descendu du véhicule, j’entends des bruits sur le côté latéral en train de longer le blindé, se dirigeant vers l’arrière. Une fois arrivé, je cliquetis du verrou s’enclenche et la porte blindée s’ouvre enfin pour mon plus grand bonheur.  Je n’ouvre guère les yeux, mais la lueur du jour s’abat délicieusement sur mon corps. J’en ressens un léger réchauffement… ainsi donc nous devons être en pleine après midi, tant mieux !

_ Alors… l’essence, l’essence… murmure mon agresseur en cherchant du regard son baril, Ah ! Ici !

C’est bientôt le moment… mais encore un peu de patience. Il prend l’objet et rempli la réserve, je vous en passe les détails puisque ça doit bien prendre un bon moment.
Après sa tâche terminée, il enclenche une forte musique électro et retourne vers l’avant pour demander une clope à son partenaire, oubliant de refermer le verrou. C’est le moment !

J’ouvre les yeux et me redresse vivement, mais je titube et me cogne contre quelque chose d’imposant au niveau du genou. Une plainte sort de mes lèvres et je baisse le regard, écarquillant très vite les yeux avant de sourire. Une imposante caisse en bois longe le côté, et dedans se trouve mon sac à dos. Il y avait mes affaires, mais pourquoi les au-je pris… ? Impossible de m’en souvenir, mais je me reprends et prends une brettelle du sac avec difficulté mais j’y parviens et la tiens ferment. Puis je marche en difficilement vers la sortie jusqu’à ce que je j’entende :

_ Tu as entendu ? Çà vient de l’arrière.

J’écarquille les yeux, et ne prends plus la peine d’écouter d’avantage. Prise de peur, j’accours vers la sortie sans faire attention au bruit que je provoque. Bien évidemment, le fait d’avoir mes Martens aux pieds, n’aident pas à la discrétion. Je viens de me faire repérer mais qu’importe. Car au même moment je saute du véhicule, ils sortent en trombe avec une mine étonnée. J'ai à peine une demi-seconde pour regarder autour de moi, nous sommes en pleine forêt. Je ne pouvais pas rêver de mieux pour les semer, mais... je n'allais pas prévoir les bords de la route sont au sommet d'une pente très marquée. Ainsi donc j'atterris au sol sans trop de mal, puis je cours le plus vite que je peux à en perdre haleine parmi les arbres et trébuchant de temps à autre.    


<~¤~>


Il faisait noir… La nuit est tombée depuis longtemps mais… où suis-je ?
Je pousse un son inarticulé en plainte, puis me retourne sur moi-même et m’emmitoufle dans une douce texture épaisse et confortable. Il me faut bien une bonne dizaine de seconde, pour comprendre que mon dernier souvenir n’est pas très logique au moment actuel. J’ouvre donc subitement les yeux, et me redresse vivement. Mai un cri de douleur s’échappe de l’entrave de mes lèvres, je porte ma main à mes côtes et tente de calmer ma respiration.

_ Tu es enfin réveillée ? me demande une voix d’enfant avec un doux sourire.

Je relève difficilement la tête en poussant un juron silencieux, et la tourne sur le côté pour voir celui qui a parlé.

_ Où suis-je ? Et que fais-je ici ? demandé-je d’une voix méfiante et hachée par la douleur.
_ A Espérance. On t’a retrouvé juste à l’entrée du village, tu étais salement amochée et totalement inconsciente. Evite de trop bouger, les dégâts réside plus particulièrement sur tes côtes, tu en as plusieurs de casser et de fêler. Il y a aussi ton épaule droite qui a subit de sérieux dommages, nous l’avons remis en état. Mais il restera fragilisé, fait bien attention.
_ Depuis combien de temps… étais-je dans les vapes ?
_ Oh, plusieurs jours ! déclare-t-il avec un petit sourire.

Je fronce les sourcils et soupire, puis regarde l’état de mon corps. Il est jonché de bandages rougeâtres, en d’autres termes je ne devais porter que mon soutien-gorge et mon short en cuir noir. J’avais l’air d’en avoir bien bavé.

Espérance… c’est un petit village peu commun, et le jeune garçon m’en expliqua son fonctionnement durant une bonne heure. Je l’écoute sans vraiment le regarder, mais je lui prête tout de même une oreille attentive. J’avais doucement vérifié où sont mes affaires, pour mon plus grand bonheur, ils étaient juste à côté de la table nuit en style rustique.

Le petit finit son discours en déclarant, et tout en s’approchant à mon chevet :

_ Le Directeur s’inquiète beaucoup de ton état de santé, mais il sera ravi d’entendre ton rétablissement !
_ … Le Directeur ? demandé-je avec de grand yeux.

Et dans ma tête, l’image d’un vieux dirlo de bahut apparaît. Mais j’ai très vite découvert que je me suis trompée.
»

Voilà comment je suis arrivée… c’est sûr que ce n’était pas en dentelle, mais il vaut mieux tomber sur un village complètement dingue que de voir une parti de son corps être découpé par des tarés.

Maintenant que je me suis remise de mes émotions, je vis en tant que psychologue du village et rien d’autre. Soit je suis au travail, chez moi, dans un bar ou en train de fouiller dans le village la nuit. Pas de lien intime avec un villageois, j’en fréquente mais ça en reste là. Je ne compte pour personne, et fait en sorte à ce que je ne m’attache seulement à moi-même. Le Directeur reste un individu ... il m’arrive de lui parler mais ça en reste là. Enfin si j’exclue le fait, que je ne lui obéis pas et n’en fait toujours qu’à ma tête pour son plus grand malheur. Mais je ne lui fait pas confiance, il cache des choses, et je compte bien le découvrir par moi-même, enfin quand j’aurais le temps.

Le village est très original pour ainsi dire, je n’en avais jamais vu de ce genre. Même si j’aime vivre ici, quelque chose cloche et je ne me sens pas chez moi. Je veux juste me tirer d’ici, et rencontrer une personne en qui je pourrais m’abandonner complètement… et je doute que cette personne se trouve au village. Je veux que ce soit clair comme de l’eau de roche, découvrir le pot aux roses et les secrets de cet endroit mais à ma manière. Il est hors de question que je moisisse ici, et surtout pas du Reflet. C’est la face noire de cet endroit, je ne veux pas me laisser bouffer par cette chose !



La princesse eut par ce moyen toutes les perfections inimaginables...

Je n’aime pas vraiment sortir pour voir du monde, ni perdre mon temps au marché ou dans des boutiques quelconques. Bien que me trouver dans des soirées ou au café du coin ne me dérange pas, je préfère amplement passer des jours entiers chez moi sans sortir : jouer de la guitare, écrire ou dessiner des heures durant.
Me perdre dans « mon monde », je ne fais que ça la plus part du temps. Imaginer des choses, vouloir me perdre dans l’irréel… que j’ai créé de mes propres mains, et qui deviendra par la suite imprévisible au fur et à mesure du temps. Je suis de nature tête en l’air et rêveuse, mais ce n’est pas toujours un simple trait de caractère. Il peut très vite devenir handicapant, s’accentuant subitement quand je suis dans une mauvaise passe question moralité. J’appelle ça une période d’humeur, heureusement que je suis les trois quart du temps dans ma piaule pour ne gêner personne.

A part ces petits moments de solitude pleinement appréciés (enfin... façon de dire), quand les gens remarquent ma petite bouille, un sourire montrant toutes mes dents est plaqué sur mon visage. Je bouge beaucoup, et m’amuse sans cesse avec les enfants. Je les ai toujours aimé, mais je ne serais dire pourquoi. Si je pouvais, j’aimerais qu’ils soient mes frères ou mes sœurs, c’est tellement magnifique de voir le sourire sur un enfant innocent… ça vous illumine votre journée. Mais même quand je travaille, je me comporte similairement, gardant tout de même un tempérament plus calme et attentif. Je discute de tout et de rien, écoute et il peut m’arriver de parler –rarement- de moi-même. A vrai dire, je connais presque tout le monde au village, je reçois pas mal de personnes.

Oh bon sang… si vous saviez ce besoin que j’ai de vouloir apporter un minimum de bonheur à la population, d’être à leur service, je n’éprouve aucunement de la pitié, mais je ne compte pas en donnant. Des souvenirs me remontent de temps à autre en mémoire quand je pense à ça, et le sentiment de naïveté et de faiblesse retombe sur moi. Même si je suis de bonne humeur, une sorte de lueur noire obscurcit petit à petit mon esprit. Des pensées même improbables envahissent ma tête, je ne veux plus sourire alors je m’enferme chez moi pour ne pas me faire porter aux épaules des gens. Un sentiment de poids et de vide m’assaillent, puis un mal de crâne même léger mais perpétuel tombe sur moi. Mon corps est éprit de courbatures et de lourdeur, mes yeux sont très lourds et mon estomac me donne un ressenti de nausée.
Le soir lorsque je m’allonge, je me recroqueville sur moi-même et je parle. De quelques minutes à des heures, me laissant transporter dans le sommeil après m’être complètement épuisée psychiquement. Ne pouvant plus parler correctement, ni même penser, alors je m’abandonne dans un sommeil forcé.
Ces dans ces moments-là, que j’éprouve le besoin d’être avec une personne, n’importe laquelle, mais j’ai l’impression qu’il est trop tard. Que je ne pourrais jamais plus la voir ou être contre elle, comme si l’on me l’avait arraché de force. Alors j’ai peur, très peur. La paranoïa me gagne, et je me mets à penser qu’Il est là. Dormant dans la chambre d’à côté, mais qui est-Il ? Il me hante et me stupéfie, me met en colère, me fait remonter des larmes… « j’ai peur ». Je ne veux pas qu’on me voit comme ça, j’en avais assez ! Je veux me montrer réellement, qu’on ne pourra jamais plus me toucher qu’importe la façon, je ne me laisserais pas faire ! Je ne veux pas être proche de quelqu’un si c’est encore ressentir ça, j’aime l’amour et l’amitié, j’apprécie beaucoup de personne. Mais il n’y a aucun individu qui m’est cher et à qui je compte, je suis solitaire et ça me convient parfaitement.

Je veux être dépendante de moi-même, personne à me donner des ordres. Les règles sont fait pour être brisés, et je ferais tout pour atteindre mon objectif. Alors si je ne dors pas, la nuit je sors et me faufile dans les rues. Etrangement, dès qu’il y a la pleine lune je suis sur une hauteur et je la regarde tout en écrivant ou jouant d’un instrument de musique. J’évite les quelques villageois qui arpentent encore ou surveillent, et une fois cachée et tranquille, je regarde la paysage. Cette forêt, ce mur, ce lac… et plus loin ? Et puis le « Reflet », a-t-il lui aussi une barrière ou c’est comme l’Univers ?
Si la curiosité me pique, je continue mes propres recherches sur le village et ses rumeurs. Comme essayer de se faufiler chez le Directeur ? Quasi impossible, mais tellement tentant !



On ne trouve guère un grand esprit qui n'ait un grain de folie.

Je hais... Je n'aime pas.. plus que tout d'être fragile aux yeux des gens. J'ai la peur d'être vulnérable, c'est ce qu'est mon " entrave ".
C'est ce qui m'a conduit dès mon adolescence, à m'endurcir. Du physique à ma façon de me comporter, voulant être regardée non pas comme une femme, mais comme qui Je suis.
Même si j'aime le monde et l'environnement, j'ai peur. Peur... Mais quand je suis seule, et pourtant je m'isole de mon plein gré. Je ne me laisse pas faire contre qui que ce soit, cherchant à ce que les gens m'évitent. Homme ou femme, qu'importe.
Je n'ai donc personne qui me soit cher, et je ne compte non plus pour quelqu'un. Donc si je devais un jour mourir, il n'y aura pas de peine... Je ne peux pas rêver de mieux.

J'en suis devenue paranoïaque, le soir est le moment que je redoute le plus, j'évite de dormir un maximum. Des cernes demeurent donc perpétuellement sous mes yeux, ma mine est donc bien triste quand je sors la journée. J'ai toujours un couteau sous mon oreiller, ou quelque chose qui peut permettre de me défendre quand je sors. A mon arrivée ici, j'avais un très fort ressenti de méfiance envers tout le monde, j'en suis devenue bien parano. C'est ce qui m'a conduit au fur et à mesure des jours, à élaborer des système anti-intrus chez. Chaque pièce de ma maison, possède un objet qui peut me permettre de me défendre... j'aime bien bricoler. Je serais prête à frapper une quelconque personne qui tenterait à ma vie au village. Je n'ai confiance en personne, même pas aux enfants. Et je parle en connaissance de cause, un gamin de huit ans peut tuer tout comme un adulte. C'est l'acte en lui-même qui compte, qu'importe la manière.

Même si j'ai oublié une majeure partie de ma vie d'Avant, je sais que ma jeunesse n’a jamais été une partie de plaisir. D'après les autres j'ai toujours été " folle " et de " bizarre ", on m'évitait et je faisais peur. Non pas exclue comme les " gothique ", mais j’ai été fichée de marginal. À ma façon de parler ou à ma vision de la vie et du monde, je ne serais pas dans la norme. Même dans ma famille... Je n'arrivais pas à leur parler, mais il y avait une personne... à qui je pouvais tout dire. Qu'est elle devenue ? Je ne sais pas... Je ne m'en rappelle pas. Mais une horrible douleur me tenaille le cœur quand j'y pense, et je suis obligée de m'isoler.
Alors oui, je me considère comme différente. Pas d'ami, pas d'amour ni de famille. Juste mes reptiles et mon monde... Je ne parle pas du Reflet, mais de mon propre monde secret rien qu'à moi.

Quand je ne peux plus rester éveillée, plongeant ainsi dans le Reflet. Je me retrouve toujours dans les mêmes situations, mais selon elles, je peux avoir une ou deux formes. Soit je deviens une jeune fille de huit ans... Et je me mets à voir des choses… Du sang, des cris... Seule. Soit une femme " fatale ", habillée de cuir et armée de poignards et d'un flingue. Je n'ai qu'une envie dans ces moments-là... Me défouler de n'importe qu'elle façon. Désobéir à toutes les règles et être indépendante.
J'y reflète donc ma peur et ce que je suis restée au fond de moi, et il y a aussi ce que je suis devenue dans ma tête. C'est l'héroïne de mes écrits, celle à qui j'ai totalement confiance même si elle n'existe pas. Je ne veux plus avoir peur… plus jamais.



Miroir, miroir dis-moi qui est la plus belle ?

Du haut de mon mètre soixante, mon corps est en pleine santé !

Je possède de belles courbes de jeune femme, mais que j'évite de mettre en valeur. Non pas par complexité, mais parce que ça m'est complètement égale de plaire ou pas à la population.
N'aimant guère trop sortir, ma peau est moins colorée que la plupart des gens que je vois la journée, mais je n'y prends garde, à vrai dire j'aime bien ma teinte de peau. En fait... je possède une apparence " normale ", n'ayant pas de mal formation physique ou de problème de poids. Même si l'on peut dire que j'ai une allure charmante et belle (quand je m'applique un minimum...?), je ne suis pas non plus une bombe.

Question particularité physique, je possède des cicatrices sur mon corps dont je ne saurais en dire l'origine pour beaucoup d'entres elles. J'en ai une petite sous la mâchoire, une autre de la même taille mais plus arrondie sur mon poignet gauche, plusieurs sur mon avant-bras. Puis de légères traces sur quelques endroits de mon dos, et une à peine visible sous ma lèvre inférieure. A... la seule qui me fait le plus flipper et  qui me donne la nausée à chaque fois que je la vois, c'est celle sur mes côtes avec un sens vertical. De la taille d'une lame de couteau de cuisine, à vrai dire ça m'a toujours fait penser à une arme blanche.
Passant les balafres, un joli tatouage demeure sur mon omoplate gauche. Il y a plein de courbes noires et fines qui semblent virevolter autour de la statue " Doris ", elle vient du second album de Metallica. C'est donc une statue en pierre avec les yeux bandés, et pleurant du sang tout en tombant en ruine. Une guitare électrique est accrochée à sont dos. Ce dernier d’ailleurs, possède aussi des ailes d’ailes d’une couleur blanche abimée. Et en dessous du tatouage, on peut lire en italique " And Justice For All... ".

Pour en venir à mon visage, et bien j'ai des traits fins. Me donnant un air plutôt doux, mais certainement pas enfantin. Paraît-il que mon comportement et ma façon de bouger, me durcit un peu plus qu'elle ne devrait me rajeunir quand je suis de mauvaise humeur... Bref ! Sinon j'ai des lèvres fines et rosées, un nez banal et des yeux qui changent de teinte selon les saisons : vert sombre en hiver et plus clair au printemps. Mes cheveux châtain clair sont lisses et m'arrivent au niveau des épaules.

Pour mon côté vestimentaire, mes affaires ne viennent que de mon sac principalement : Ma seule couleur c'est principalement le noir, il m'arrive de porter un haut blanc de temps à autre. Le plus souvent, on peut me voir avec un jean noir bouclé par une ceinture, des Dr Martens, une veste en cuir et un T-shirt avec des images de groupes musicaux, tout ceci en noir. Portant par la même occasion, des bagues en acier, avec un bracelet de force.

Par période, il m'arrive d'avoir une tenue plus décontracté, et je trouve que c'est ce qu'il me correspond de mieux quand je suis de bonne humeur. J'adore porter des chemises à carreaux, déboutonnées avec les manches retroussées jusqu'aux coudes. Accompagnée d’un débardeur noir ou d'un T-shirt simple au produit dérivé de mon groupe préféré, et des bracelets en cuir aux poignets. Quand au bas, c'est un jean délavé avec une chaînette sur le côté, et encore mes Martens. C'est très confortable, même si le côté féminin n'est pas vraiment au rendez-vous. Je ne sais pas pourquoi, mais cette idée... je m’en fiche royalement.

Je refuse de suivre une quelconque mode en vogue, qu'importe si le vêtement est obsolète ou pas, je le prends du moment qu'il me plaît. Et je n'oublie pas d'avoir mes cheveux relâchés, ou bien en une natte sur le côté.

En fait je ne fait pas attention, tout dépend de mes périodes et de mes humeurs. Car même si c'est rare, il peut m'arriver sur un coup de tête de mettre une robe, ou une jupe. Mais qu'importe comment je suis habillée, je garde toujours le même collier. C'est un médiator noir, avec en italique " Taï ", et le logo de Metallica en dessous, mon groupe de metal préféré.


Voilà mon beau miroir... alors suis-je toujours la plus belle ou bien...


De l'autre côté du miroir...

PRÉNOM/PSEUDO :  Justine ; Taï , Taïga.  Gaaa 
ÂGE : 16 mais... bientôt 17   Héhé 
OÙ AS-TU CONNU JE DE L'ÂME ? Oh ! Par un membre du fofo qui m'a superbement conseillé !! ~   Agnaaah ! 
COMMENT LE TROUVES-TU ? L'esthétique est superbe, et je l'aime beaucoup. Même si je dois avouer que mon iPod n'arrête pas de beug ...   Grrr 
EXPÉRIENCE EN RP : Environ un an et demi, mis j'adore écrire depuis que je suis jeune !  Coeur 
PRÉSENCE : Peut être plus le week-end à cause des cours.  Twisted 



Dernière édition par Taïga le Dim 9 Fév - 14:05, édité 34 fois
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyLun 20 Jan - 8:16

Bienvenue à toi Taiga, une psychologue à Esperance... Ca c'est une chouette idée! '^'
J'ai hate de lire tout ça, bon courage! =)
Taïga
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyLun 20 Jan - 11:09

Merci beaucoup ! Héhé, en effet ce métier à l'air intéressant sûrement pour le village x)
Je m'y hâte d'écrire tout en m'appliquant un maximum !
Victor
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyMer 22 Jan - 8:51

Petit détail supplémentaire: ton personnage est polack, comme le mien! :3 Ouh, je t'aime déjà *^*
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyMer 22 Jan - 12:27

Ooh ! Intéressant x3
J'ai hâte de RP avec ton perso en tous cas ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyLun 27 Jan - 15:10

Pfiouh ! J'ai enfin fini ma fiche !
... * se relis * =.=
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyLun 27 Jan - 19:58

/Met The National en fond sonore et s'attaque à la fiche/

Alors, sans approfondir, sache que rien dans le contenu ne s'oppose à ta validation ♫
Néanmoins, et comme c'est mon boulot, un léger creusement s'impose ; c'est surtout histoire de souligner certaines choses, des détails à modifier avant d'être parfaitement validable ou de te faire part de ma réception, à vrai dire.

Tout d'abord, tu n'es pas avare de descriptions, et c'est vraiment appréciable ! Cela donne des souvenirs très précis qui changent du flou artistique dans lequel sont plongés de nombreux Espéranciens ; il en va de même pour les descriptions du physique et du mental. Une personnalité assez complexe, d'ailleurs, qui permettra sans doute des rps composites ~
Tu as créé un personnage qui, derrière son entrave, possède une profondeur étrange, mais n'en perd pas pour autant sa cohérence [c'est souvent le problème du blanc/noir, qui est trop souvent mal accommodé, mal dosé] alors j'aime bien ♣

En revanche, quelques couacs à modifier : pas d'armes à Espérance ~ Surtout qu'à 21 ans, est-ce qu'elle a obtenu un permis de port d'armes polonais ? Et d'où viendrait le Browning, si elle a été fouillée pendant qu'elle était dans la camionnette avant d'arriver à Espérance ? [l'inverse serait bizarre] Dans tous les cas, on lui aurait obligatoirement retiré durant sa convalescence...
Ensuite, niveau fringues, il ne faut pas que tu oublies que Taïga est arrivée les mains dans les poches si je pus dire, et que si elle a des Converses et des Docs M. ou des t-shirts de Metallica, elle a dû les récupérer de son Avant [un sac à dos ou quelque chose ?] parce que ce n'est pas le genre de choses qu'on peut trouver dans le village =3
D'ailleurs, la phrase « des yeux avec une belle texture vert sombre et claire au printemps » est vraiment bizarre... Elle change de couleurs d'yeux au printemps ?

Mis à part cela, il y a des fautes un peu partout, mais qui ne gênent pas énormément la lecture. Fais juste attention à l'avenir, certains « s » ou participes passé sont incorrects ~

Voilà ce que j'ai à dire, peut-être un autre admin' voudra-t-il passer derrière moi... Mais si tu corriges ces deux-trois choses, ça ira \o
Bon courage ♥
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyLun 3 Fév - 9:01

Non non non... Saleté de PC de CDI ! Deux heures de boulot pour tout remettre à jours ! Ca a planté... * totalement découragée *... bon il faut tout recommencer T_T

Mais pas là...j'ai pu le temps ! Aah mais je vais y arriver !
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyLun 3 Fév - 17:46

Ce n'est rien, je veille sur ta fiche en attendant ; il ne lui arrivera rien !
Préviens-moi juste lorsque tu l'auras terminée ~

Courage ♥
Taïga
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyDim 9 Fév - 13:07

Merci merci beaucoup ! ><

Je l'ai enfin terminée !Enfin j'espère que j'ai tout fait correctement.. ._.
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyDim 9 Fév - 14:18

Voilà qui est mieux, alors je te valide avec plaisir ~

Tu peux dès à présent traumatiser écouter les enfants te parler de leurs problèmes, postuler dans le groupe de musique [qui, à force, va devenir un orchestre complet] ou rejoindre Virgile qui attend esseulé sur le bord du lac, une âme à qui confier les tréfonds de son coeur... Ou non.

Quoi qu'il en soit, bienvenue parmi nous ! Bon Je
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MessageSujet: Re: Taïga ~ [FINI ~] Taïga ~ [FINI ~] EmptyDim 9 Fév - 15:43

Merci beaucoup ! ~
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