Voici le conte de...

Il était une fois...

C'est une torture que vous m'infligez, de me remémorer le souvenir de cette sensation, ce vent glacé qui s'insinuait dans mes vêtements et paralysait chacun de mes muscles. En dessous de moi, un fleuve à moitié gelé, scindé en deux par une entaille dans la glace laissée un bateau récemment passé. La nuit était tombée, seul la lumière des lampadaires du pont me permettrais de calculer le point d'impact. Oui, je me préparais à sauter. A cette période de l'année, une fois immergé, sans compter que j'avais alors moins de 9 ans et un corps plus fragile que la majorité. Le garçon fermât les yeux, inspirât l'air glacial puis expirât dans un dernier souffle blanchâtre et brulant, le reste de la chaleur qui restais dans son cœur. Il mis un pied devant l'autre, fit tomber un peu de neige dans le vide, abandonna toute force. Il se penchât en avant, encore, encore, encore, enc... Le noir emporta tout.

C'est cette nuit que je suis mort. Du moins c'est ce qu'il m'a dit :
« Aujourd'hui tu es mort car tu en avais envie. En échange, tâche d'offrir ta vie à quelqu'un qui ne veux pas s'en séparer »

Aujourd'hui il ne reste de ma mémoire, que cette nuit hivernale qui avait déjà su, à l'époque, effacer mon âme. Je garde aussi avec moi ma langue natale, le français. Ma capacité à compter et à réfléchir. Mais est-ce vraiment cela qui fait de moi ce que je suis ?

Ils vécurent heureux et...

Un rêve ? Non … c'est réel. Vraiment ? Je ne sais pas. Je suis mort ? Je ne me souviens de rien. Rien du tout ? Si … mais c'est tellement lointains. Depuis combien de temps suis-je planté là ? Jamais. Es logique ? Oui, ça ne l'est pas. Où suis-je ? Quelque part. Comment es ? Agréable. Qui a-t-il ? Un hameau … non, un village … ce n'est pas ça, une ville … toujours pas… Suis-je seul ? …

C'est trempée sous cette pluie de questions que Sylver fis son arrivé à Espérance. Combien déjà cela s'est déjà produit ? C'est la première ? La cinquantième ? Encore et toujours des questions. C'est tout les matin la même impression. Il se lève de ce lit qui n'est pas le sien. Dans cette maison qui lui est toujours si inconnue malgré les nombreuse journée qu'il à passé en son sein. Il n'en est jamais sortit. Il regarde de temps en temps à la fenêtre et observe le monde extérieur, parfois il arrive à surprendre la conversation de quelques habitants de cette ville. Au début il ne comprenais rien à ce langage qui lui semblais à la fois mystérieux et familier. Après avoir fouiller dans la bibliothèque de la maison il avais trouvé un livre dont la couverture ressemblais à un illustration de Alice au pays des Merveille. Il étais écris en Esperanto chose qu'il compris par la suite en apprenant, aidé par ce livre et par les personne qui passais devant la maisons, la splendeur de la dite langue. Jour après jours, il se réveillais tout d'abord perdu, puis peux à peux ce qu'il avais vécus la veille lui revenais. Après un long moment il acquis une bonne connaissance de ce monde, son niveau de maitrise de l'Esperanto s'accroissait de jour en jour, il apprit par les livres et les commérages des passants l'existence d'un lieu nommé "le reflet", un monde étrange, plus encore que celui ci. Étai-ce non seulement possible ?
Cela dois maintenant faire bien longtemps qu'il s'est enfermer en cette demeure. Jamais quiconque ne l'a remarqué. Jamais personne n'a frappé à sa porte. Cependant aujourd'hui il est fatigué d'attendre. Aujourd'hui il sort découvrir espérance comme il l'a toujours voulue.

La princesse eût par ce moyen toutes les perfections inimaginables...

Regardez ce ciel bleu au-dessus de vos têtes. Un nuage aussi blanc que de l'argent fondu vient vous abriter de la lourde chaleur solaire. Vous sentez la fatigue s'emparer de vos jambes et vous vous laissez tomber dans l'herbe encore chaude. Un brise fugace s'invite, pour vous picoter le nez, vous faisant secouer la tête. Vous la laissez retomber et regardez ce nuage qui viens de vous procurer toute ces sensations. A quoi ressemble-t-il ?

Posez cette question à diverses personnes et vous pouvez être assuré d'avoir toujours une réponse différente. Chacun de nous a sa propre personnalité et sa propre histoire, rendant ce nuage unique aux yeux de celui qui le regarde. C'est le nuage qui s'adapte à notre vision des choses.
Sylver est comme ce nuage, chaque personne le côtoyant le connaît d'une façon totalement différente. Il n'est jamais le même, il s'invente une personnalité pour chaque rencontre, au début il en inventera une, puis une autre, et cela jusqu'à ce qu'il trouve celle qui vous satisfera le mieux.

On ne trouve guère un grand esprit qui n'ait un grain de folie.

Décrire sa personnalité générale est chose ardue. Certains affirmeraient qu'il n'en a pas, d'autres décriraient la personnalité avec laquelle il s'est présenté à eux. Aucune de ces deux affirmations ne sont vraies. Sylver n'a aucune idée de qui il est vraiment. C'est bien là tout l'embarras.
Il n'a pas de personnalité propre. Il agit en fonction de la ou des personnes qui l'entoure et il fait tout pour n'être jamais seul, car la solitude n'a aucun intérêt pour lui, c'est une perte de temps. Lorsqu'il est seul il attend, il dors, il réfléchis parfois, imagine des possibilité, calcul les réactions. Mais cela dans le seul et unique but d'améliorer la personnalité qu'il affiche devant vous. Sylver n'est rien, tout seul, c'est surement ce qui à influencé la forme d'armure en argent vide qu'il prend dans le reflet. Peut être un jour trouvera-t-il une personne qu'il saura apprécier plus que les autres, alors peut être sera-t-il possible, pour lui, d'exister sous un seul "exemplaire".

Miroir, miroir dis-moi qui est la plus belle ?

Sur ce nuage se trouve un arbre. Ses racines sont plantées dans des profondeurs embrumées. Son tronc dépasse et perd peu à peu de son écorce et ses branches s'éparpillent dans une multitude de directions. Le tronc est éternel et inéchangeable. Les branches éphémères, se dessinent, avec des fleurs qui y bourgeonnent, fleurissent, se fanent, meurent, tombent et ainsi disparaissent.

Pour Sylver, c'est la même chose. Il y a une partie qui ne change pas : son corps. Il est grand mais faible. Ses muscles se développent beaucoup plus difficilement que la moyenne. Il tombe facilement malade et est toujours le premier à être contaminé par une épidémie dont les symptômes sont à chaque fois plus forts que pour les autres. Heureusement mère nature n'est pas si malsaine et l'a donc doté d'une bonne capacité de guérison. « Premier blessé, premier guéris », une règle ne s'appliquant qu'à lui.

Du côté facial, on dira qu'il est légèrement efféminé. Il a les yeux cendrés, et petites sont ses oreilles ainsi que son nez. Ses cheveux sont bruns, avec des reflets gris. Sur le coté droit de son crane se cache, derrière la partie colorée de sa chevelure, une petite mèche grise dont l'origine est due à une blessure d'enfance.

Cependant, dans tout ça, il y a quand même une partie changeante : son aspect, l'impression qu'il donne et son style vestimentaire. Néanmoins cela dépend seulement de son « Target » ou plus précisément de la personnalité qu'il affiche à son « Target ». En temps normal ou lorsqu'il est seul, il porte des habits simples, noir et blanc. Jean gris et T-shirt blanc ou encore pull sombre et écharpe crayeuse.
Sylver est alors unique, tout en vous ressemblant.

De l'autre côté du miroir...

» Prénom/Pseudo : Sylvombre ( Sylv' )
» Âge :16ans
» Où as-tu connu Je de l'âme ? Sur SOS forum RPG
» Comment le trouves-tu ? Je vais tuer cette question !!! J'ai besoins de temps pour me faire un avie.
» Expérience en RP : J'ai vraiment RP sur 2 forums qui on fermé leurs portes.
» Présence : Je passerais surement tout les jours mais je ne ferais des RP que le week-end
» Code réglement :
» Code contexte :