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Ganymède, déchu du trône des dieux

Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyDim 29 Jan - 17:50

Genèse de
Ganymède
Le réveil est l’éclosion des songes



Voici le conte de...

Ganymède, déchu du trône des dieux 120129065949264595
Jack Vessalius, dans Pandora Hearts

» Prénom : Ganymède.
» Sexe : Il a des charmes d’Apollon.
» Nationalité : Française.
» Âge : Dix-sept ans, né un jour qu’inaugurait le printemps.
» Lieu d'habitation : Indépendant, il vit dans une maison du bourg.
» Poste : Antiquaire.
» Religion : Ainsi qu’il ne croit pas qu’il y ait quoi que ce soit après la mort, il ne connait pas de foi qui le lie à aucune divinité.
» Qualités : Il est curieux, vif d’esprit, sociable et imaginatif. Il n’est habituellement ni rancunier, ni susceptible, et croit en les capacités de chacun. Il est généreux, humble et ne craint pas d’agir ou de prendre des décisions difficiles.
» Défauts : Il se laisse chavirer lorsque l’emportent ses tourments, est mélancolique, a un goût pour la douleur sentimentale contre lequel il tente de lutter.
» Activités/Hobbies : Ses principales activités sont liées à sa passion pour l’Art. Peut-être le surprendrez-vous en train de déclamer des vers cornéliens, de fredonner un air de symphonie dont il vous reste un lointain souvenir, de lire, de composer un poème ou une peinture. Il ne s’y intéresse pas avec la moindre prétention, mais pour ressentir ce plaisir de créer qu’il place avant tous les autres.
» Particularités : Son cœur aveugle est sensible à tous les corps.

Il était une fois...

Il incarnait le fantasme romantique auquel Friedrich permit de survivre aux âges et de s’infiltrer dans les esprits futurs. Dressé face à cet infini, il trouvait là le seul adversaire à sa mesure avec lequel il lui semblait pouvoir ne former plus qu’un s’il se précipitait depuis ces cimes nuageuses jusque dans ses bras éternels. Pourtant seule la constitution de cette vision lui était familière, mais rien dans ce paysage oriental ne lui évoquait alors quoi que ce fût. Si sa mémoire n’avait pas tant été affectée par sa venue en ces mystiques contrées, probablement aurait-il vu la Chine dont, jeune, il s’était épris, sa main enlacée dans celle de sa mère qu’il trainait en tous lieux pour mieux contempler cet exotisme si charmant.

Si ses souvenirs étaient vagues et que, régulièrement, il lui semblait découvrir à nouveau les sensations, certaines choses persistaient en lui. De son trouble passé, il n’avait pas oublié une ligne des œuvres qu’il avait apprises, ces poésies sur lesquelles il voguait. Jouissant d’une vaste culture artistique, ses premiers moments de conscience entre les murs de cette utopie furent consacrés à la préservation de ces ultimes souvenirs jusqu’à ce qu’il en fût si fatigué qu’il cessa, voyant que cela était vain et l’empêchait de progresser. Désormais, il parvient aisément à se figurer cette salle dans laquelle il évoluait jadis, entre des livres qui étaient la substance de son existence.

Quelque chose dans la voûte noire l’attire aussi, ses iris de jade cherchant fébrilement parmi les astres la reine des cieux, ronde mais obsédante. Quand ils la rencontrent alors, il la fixe pour y trouver les clés de son âme. Alors, quand elle lui ôte ses yeux jusqu’aux aurores, deux silhouettes se dessinent dans sa cervelle étreinte par Morphée. Des femmes, l’une droite et de métal, l’autre blanche et distinguée, sculptées par des séraphins. Alors que le visage de la seconde, nourrie par la nature qui l’enfanta et duquel s’échappe une fumée monstrueuse, s’approche de celui qu’il a en souvenirs, une immense serre velue vient balayer ces lèvres tendues par une affection maternelle, et tirer Ganymède à la surface dans un souffle haletant.


Ils vécurent heureux et...

Arraché au jadis par les rayons d’un soleil étranger, les paupières du jeune homme s’ouvrirent pour la première fois sur ce qu’on vantait en des termes qui ne convinssent qu’aux idéales étendues bibliques. En s’éveillant, il avait eu le sentiment de s’être plongé plus avant encore dans un domaine où les rêves étaient monarques. Il mit du temps à se familiariser avec l’idée, qu’en dépit de ce fard qui faisait luire les paysages et les gens sous la perfection qu’il chérissait, il ne pourrait jamais retrouver les lieux de ses origines desquels on l’avait ôté. Bien qu’il ne s’en souvînt pas, il éprouva une certaine nostalgie qui le ralentit dans son intégration. Il était alors âgé de quinze ans et n’avait gardé avec lui que ses maigres souvenances, qu’accompagnaient des réminiscences lorsqu’au détour d’une rue des paroles s’envolant lui évoquaient cet autrefois abandonné, mais aussi des ecchymoses sur son dos qu’Espérance effaça et un recueil de poésies, à l’intérieur de sa chemise contre son cœur ; les Illuminations.

La langue ne fut pas un obstacle. Ayant des affinités avec celles qui l’avaient inspirée, il l’apprit assez vite pour échanger convenablement avec autrui, l’étudiant toujours avec davantage de ferveur pour qu’il pût s’engager dans des velléités littéraires avec une plume dont elle serait l’essence. Installé dans une zone calme du bourg, il vivait dans une demeure de taille suffisante pour qu’il pût vivre seul avec un chat errant qui lui rendait parfois visite. Le jour, on entendait la mélodie du violon ou du piano qu’il s’était procuré naviguer jusqu’aux oreilles attentives, ou le bruit silencieux d’un pinceau qui caressait une toile. La journée, il se rendait avec entrain dans les lieux où se bousculait la vie. Le soir, la rêverie était son occupation. Le temps passait sans qu’il n’eût de repères pour juger de l’état de son sablier, et son angoisse croissait à mesure que le spectre du temps se faisait plus éthéré, car alors il lui paraissait que la vieillesse qu’il redoutait ourdissait dans l’ombre quelque projet pour lui nuire. Il ne sut faire fi de cette déchéance dans laquelle il se plongeait et se mit en quête d’une activité qui pût se conjuguer à sa personnalité et effacer de son cœur ses doutes.

Ainsi devint-il antiquaire pour subsister, et archéologue pour se passionner et donner à son commerce des fondements. L’oisiveté était son ennemi, non pas qu’il connût l’ennui auquel les arts lui permettaient d’échapper, mais que ces derniers n’avaient pas cette puissance qu’a le travail de mettre en suspens la réflexion sur soi. Cela était d’autant plus vrai que Ganymède était perfectionniste et entretenait un amour particulier du travail bien fait, toujours à la recherche d’un objet rare. L’argent ne l’intéressait pas, tant qu’il pouvait continuer de vivre et de profiter des arts tout en s’enrichissant spirituellement de ses hypothétiques découvertes ; cela suffisait à son bonheur. Il anticipait aussi que, si Espérance avait des secrets à livrer, peut-être cela lui permettrait un jour de voyager par-delà les murs dont il avait entendu parler sur les pavés du bourg.

Ganymède passe ses journées à penser, se rappelant les quelques paragraphes philosophiques qu’il avait lus avant d’être enlevé à son monde, et se rendant régulièrement à la bibliothèque où il trouvait régulièrement quelque chose qui le satisfaisait. Ses journées n’étaient qu’études, recherches, pratiques des arts. En se promenant dans les rues, quand il se croyait seul, il lui arrivait soudainement d’être à la fois Don Rodrigue et celle que la fatalité et l’orgueil des pères lui avait interdit. On l’eût considéré fou si on le voyait agir ainsi, mais c’était comme cela qu’il se laissait transporter. Même s’il était très sociable et se rendait dans les lieux fréquentés, il subissait une profonde solitude intérieure, une balafre qu’aucun enchantement ne pansait.

Il avait toujours suspendu son jugement à propos de Bird, s’assurant comme il en avait les principes cartésiens inscrits en lui, de ne commettre de fait aucune erreur. Ce directeur lui apparaissait comme un homme digne de confiance, un appui stable et cette figure autour de laquelle gravitait une société patriarcale n’avait jamais l’air altéré par aucune preuve. Mais, cela ne suffisait pas pour qu’il l’érigeât en homme de bien et jamais il n’avait eu d’occasions de faire plus ample connaissance ainsi qu’il attendait de se considérer assez proche de cet homme singulier pour se prononcer à son égard. Néanmoins, il se comportait avec lui comme avec tous les habitants. Il était aimable, prompt à aider et capable de cultiver un dialogue aussi longtemps que cela aurait plu. Mais, il appréciait aussi les silences et ses périodes de contemplations ou deux seuls regards tenaient en équilibre au-dessus du vide, suspendus dans un fragment d’éternité.

Avec son amour pour cette communauté naissante grandit l’effroi que lui causait le Reflet. Sa simple évocation brisait son échine. Il ne s’y était rendu qu’une fois et était apparu endimanché et coiffé d’un haut-de-forme que prolongeait un masque blanc sur son visage. Sa face était immaculée et dépourvu de quoi que ce fût qui permît d’identifier un visage ; ni son nez, ni sa bouche, pas même ses yeux n’apparaissaient. Cela l’épouvanta tellement qu’il saisit aussitôt son éclat de miroir qu’il piétina pour se réveiller le corps en sueur collé à ses draps blancs. Dès alors naquirent en lui des soupçons quant au merveilleux d'Espérance, le souvenir tracé en lui de ces utopies qui jamais n'en étaient dans les livres.


La princesse eût par ce moyen toutes les perfections inimaginables...

La mémoire était la clé de voûte de la conscience, comme l’aurait dit Bergson, alors ce réveil dans ce village eut sur Ganymède l’effet d’une seconde venue au monde à laquelle il avait assisté, étant en possession de tout ce qui pouvait permettre cette conscience. Cependant qu’il découvrait à nouveau les sensations et ses pensées qui, détachées de leurs parents paraissaient absurdes, bribes de naguère, il s’aperçut que quelque chose en lui ne lui intima pas ce sentiment d’originalité. Son caractère était en quelques raisons le même que celui qu’il avait avant. Il le savait comme un croyant qui est persuadé de l’existence de l’entité qu’il vénère et qu’il n’a pas besoin d’éprouver. Il n’avait pas changé, était le même.

Naturellement sociable, il avait des affins avec la plupart des gens. Il avait cette habitude d’aller vers les autres pour fuir la solitude et les forçait à la fuir aussi. Il préférait savoir que deux personnes étaient ensemble et restaient muettes, plutôt que de les savoir pareillement silencieuses chacune tournée vers son néant intérieur. Entêté par rapport à cela, son soutien qu’il offrait sans attente de quelque retour était chez lui prééminente. Il aimait particulièrement la vie, et peut-être l’aimait-il trop au détriment de la sienne, puisqu’il lui arrivait quelquefois de se perdre dans les méandres de ses pensées, regrettant déjà alors la vie qu’il n’avait pas quittée en imaginant comment seraient les choses après qu’il serait mort. Curieux, il se pose aussi beaucoup de questions sur Espérance, et a conservé de sa vie antérieure son besoin de voyager.

Il n’était pas rancunier, pourvu qu’on s’excusât de lui avoir causé du tort. Mais, bien qu’il ne fût pas partisan de la loi du Talion, son tempérament vivace répondait toujours à une claque par une autre, n’ayant pas pour habitude de se mortifier en tendant la joue encore tendre de n’avoir pas été battue comme sa sœur. S’il pouvait faire montre d’une douceur et d’une quiétude impressionnantes, il pouvait aussi s’emporter dans de grandes colères, des fureurs qui n’étaient violentes que verbalement mais n’avaient jamais d’équivalents physiques, puisqu’il abhorrait la violence et répugnait la haine. A ses colères suivaient toujours les remords.

Derrière son optimisme apparent, sa mélancolie et sa course contre le tempus fugit ralentissaient sans qu’il en eût conscience ses agissements. C'est aussi un inverti également sensible aux charmes vénusiens, trouvant toutefois plus d'attrait dans les corps masculins. Cela lui valut beaucoup de mésaventures et est à l'origine de nombreux questionnements dont il ne parvient à se défaire. Comme tout homme, fait de contrastes et de paradoxes, Ganymède n’était la solution d’aucune équation ou démonstrations scientifiques. Il savait qu’il était comme tous une cellule indépendante qui déterminait elle-même son existence, sans que rien d’autre que sa volonté n’intervînt.


On ne trouve guère un grand esprit qui n'ait un grain de folie.

Il courba son dos et souffla, rassuré de ne pouvoir observer son reflet dans l’écume. Sa phobie se manifestait dans son reflet. Quelle n’était alors pas son épouvante lorsqu’il faisait glisser le drap qui cachait le sentier des rêves. Et c’est dans cet endroit qui le pétrifiait avant même qu’il y fût qu’il devait trouver une guérison à ses maux ? Tapie dans son être, le mécanisme de l’horloge hurlait à chaque seconde qu’elle perdait au passé, vociférant qu’elle n’avait plus que quelques morceaux d’éternité pour lui. Vieillir était sa plus grande angoisse. Le temps était l’unique alpha qui se mouvait pour se métamorphoser en l’oméga ! Naissance et mort trouvaient leurs racines dans ce mal qui s’engendra lui-même.

La phobie du temps qui passe lui était inhérente. Il comptait les heures pendant lesquelles vivaient les fleurs avant que l’hiver ne vînt les étouffer sous sa blanche couronne. Il énumérait les tombes, regardait perler les gouttes contre ses vitres et les rayons les chauffer après avec cette unique pensée : « Le temps passe et n’attend pas. » Les beautés se fanaient, la tiare du laid se ternissait et le disque solaire suffoquait. Il ignorait d’où lui venait cette peur. Elle l’entravait lorsqu’il se projetait trop loin dans l’avenir, se voyant crouler sous le poids des années et proche d’expirer, et le paralysait, lorsqu’il retrouvait ses souvenirs de sa vie antérieure, dans une nostalgie qui lui faisait oublier la saveur ineffable du présent.

Au terme, le temps serait vainqueur en jetant le linceul de la mort –où était-ce déjà la mort, qu’il craignait, qu’il était en train d’expérimenter ? Ici, le temps lui échappait. Au commencement, il avait été victime d’une paranoïa que le temps outrepassa, alors qu’il se rendit compte que celui-ci n’avait plus qu’une emprise effacée sur Espérance. Entre crises d’angoisse liées à la peur que le temps ne le rattrape vicieusement sans qu’il s’en rende compte et espoir d’être guéri de sa peur avec cette illusion de suspension du temps, ce mal qui le ronge s’est développé jusqu’à devenir une névrose dont il a conscience et qu’il a bien l’intention d’éliminer.

« Souviens-toi que le Temps est un joueur avide
Qui gagne sans tricher, à tout coup ! c’est la loi.
Le jour décroît ; la nuit augmente, souviens-toi !
Le gouffre a toujours soif ; la clepsydre se vide. »


Miroir, miroir dis-moi qui est la plus belle ?

Il se précipitait dans la rue vers la bibliothèque de l’école où se pressaient d’autres personnes qui entraient ou sortaient, et s’y glissa sans trop savoir si on l’y tolérait. Qu’importe, ici les visages n’avaient pas d’importance, seule était l’érudition et la passion commune entre toutes ces âmes réunies dans un silence monacal. Même s’il était souvent pendu à un livre, il gardait toujours le dos droit sans pour autant se donner des manières qui fussent justement mal appréciées en de pareilles circonstances que celles qui engendrèrent cette ville.

Sa peau d'ivoire n'était pas assez pâle pour qu’on le targuât d’afficher un air maladif sur son visage exsangue. Sa chevelure dorée lui permettait de s’évanouir encore plus parmi la foule, mais ses yeux de jade et ses vêtements accordés à ses joyaux en faisaient la tâche d’une immense œuvre impressionniste qui se distinguait des autres pour mettre en exergue un détail que de fades couleurs auraient abrégé. Ses lèvres fines et roses trônaient sur son visage comme si elles n’avaient convenu à aucun autre, ne portant pas ombrage à une autre partie de l’ensemble, ni n’étant si discrète qu’on les oublie, dévorées par elles-mêmes.

Il n’était pas d’une très grande taille et atteignait avec peine le mètre quatre-vingts. Ses mains aux longs doigts étaient celles d’un pianiste. Son corps, lui, n’était pas plus entretenu qu’il ne devait l’être selon les usages et l’hygiène. Il ne le sculptait pas et avait par conséquent une silhouette relativement maigre. Il portait toujours une longue veste verte ; il en prenait grand soin mais l’extrémité était usée. Autour de son cou, il nouait un mince foulard et portait parfois des gants blancs.


De l'autre côté du miroir...

» Prénom/Pseudo : Pour cela aussi, Ganymède conviendra.
» Âge : Je n’ai plus assez de doigts sur mes deux mains pour compter mes années…
» Où as-tu connu Je de l'âme ? Alors que je cherchais un forum rp intéressant, j’ai trouvé le lien de celui-ci sur l’un d’entre eux.
» Comment le trouves-tu ? Le nom est fantastique ! Je de l’âme, je trouve cela exquis. D’ailleurs, sans doute est-ce triste, mais c’est d’abord le nom du forum qui va m’attirer, alors cela traduit plutôt mon intérêt pour votre communauté. Le graphisme me plaît, comme le contexte.
» Expérience en RP : Il faut admettre que j’ai peu d’expérience. Ce forum est l’une de mes premières expériences.
» Présence : Variable, selon mon humeur et ma disponibilité.
» Code réglement :
» Code contexte :


Dernière édition par Ganymède le Dim 18 Mar - 10:45, édité 13 fois
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MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyDim 29 Jan - 17:54

    MUAHAHAHAHA ! J'suis PREMIER (et pas vous !)


    Enfin, Bienvenu !

    Dis donc, ça pleut des nouveaux ces derniers jours ! Que du bonheur !

    Bon, bin, courage pour ta fiche, et je suis déjà fan de ton nom ~

    G.
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyDim 29 Jan - 21:57

    Quelle célérité ! Je te remercie pour cet accueil si rapide !
    J'attendais d'avoir achevé cette introduction à mon personnage pour répondre. J'espère que cela sera au goût de chacun, ou du moins que cela vous contentera suffisamment pour que je puisse vous rejoindre !
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyLun 30 Jan - 6:53

Bienvenue parmi nous,
pour un jeune en RP, je trouve que tu te débrouille drôlement bien =)
Toutes mes félicitations pour cette belle fichent où valsent l'art et le lyrisme ~♥
En espérant ta validation prochaine ^^
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyLun 30 Jan - 10:48

Eh ben, les deux p'tits geek du matin t'ont déjà accueillis d'après ce que je vois~

Alors, alors, je te souhaite la Bienvenue sur le forum.

Tu écris plutôt bien, dans un style qui me rappelle vaguement les vieilles romances mélancoliques, digne d'un Tristan & Iseult. Et au vu des thèmes & auteurs que tu abordes, je suppose que tu es minimum en Terminal, si ce n'est à la fac x)

De mon côté je n'ai rien à dire sur ta fiche, elle est assez fluide, bien qu'elle me rende profondément morose (avis perso' le retour)
On verra ce qu'en diront Bird & Dum !

A part ça, n'hésite pas à passer sur la Chatbox où il y a souvent une bonne ambiance~
Vishva te salue
Anonymous
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MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyLun 30 Jan - 11:16

Bienvenue ^^
Tweedle Dum
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MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyLun 30 Jan - 17:34

    Hellow hellow ! Tout d'abord, désolée de m'occuper de toi si tard (le staff est débordé de boulot cette semaine), et ensuite, Bienvenue sur le forum ! Je suis heureuse de voir que tu as choisit Jdla pour première expérience de RP, et comme les autres qui ont commentés avant moi, tu te débrouilles déjà drôlement bien ! Même presque trop bien, tes phrases sont parfois un peu complexes, mais ce n'est pas un problème, ça te donne un "style" ^^
    Au niveau du contenu, pas de problème, tu remplis au la main tes quotas de lignes et il n'y a aucune incohérence avec contexte, bref c'est tout super ! Le seul bémol, c'est ton avatar, il n'est pas a la bonne taille ! Ici, c'est 170*350 ^^ Bon dans la mesure ou ce n'est qu'un détail, eh bien je te valide quand même, je compte sur toi pour modifier ça vite ! (tu peux demander dans la partie graphisme si tu veux, je suis sure que quelqu'un te le ferra, je le ferrai bien mais je n'ai pas beaucoup de temps =/
    Bref, tout ça pour dire, encore Bienvenue, et amuse toi bien sur JDLA ! C\'est la fête !
Bird
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Entrave: Inconnue
Métier: Directeur
MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyLun 30 Jan - 18:45

bon à priori dum a du lire sans grande attention car moi j'ai une petite remarque à faire. Attention à certains passages qui sont temporellement trop précis Smile

et il faudrait penser dans tes RP à expliciter un peu plus car ce n'est pas toujours très clair! bon jeu sinon!=)

-si tu peux, n'oublie pas de voter sur les tops sites~~-
Anonymous
InvitéInvité
MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux EmptyLun 30 Jan - 19:06

L'Horloge de Mylène Farmer ! ♥
Ganymède, divin mécène, épouse-moi *0* /PAN/

Et sinon, bienvenue ! x)
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MessageSujet: Re: Ganymède, déchu du trône des dieux Ganymède, déchu du trône des dieux Empty


Ganymède, déchu du trône des dieux

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