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La demoiselle aux câlins ~ Magena [Terminé]

Magena
Magena
Messages : 94
Date d'inscription : 01/02/2012

Feuille de personnage
Âge: -
Entrave: Ne jamais réussir à finir un RP (ce qui cause un arrêt des RPs so I'm here only for (S)taff~ )
Métier: Codeuse
MessageSujet: La demoiselle aux câlins ~ Magena [Terminé] La demoiselle aux câlins ~ Magena [Terminé] EmptyLun 6 Mai - 0:41

▬ Magena
▬ Sexe :
▬ Nationalité : Amérindienne
▬ Âge : 17 ans
▬ Lieu d'habitation : Foyer
▬ Poste : Fermière
▬ Religion : L’animisme (même si c’est plus qualifié comme un état d’esprit) mais récemment elle a rejoint les Albins.
▬ Qualités : Joyeuse – Optimiste – Prête à aider/à écouter – Ouverte d'esprit
▬ Défauts : Parfois trop envahissante pour certain – Source de malentendus – Simple d'esprit (si on peut appeler ça un défaut) – dans un certain sens c’est une peureuse, elle n’a pas peur d’aborder des gens mais dès que ça touche à autre chose il ne faut pas compter sur elle
▬ Activités/Hobbies : Câliner tout le monde – S’occuper dans les champs ou aider à la fermette – Être en compagnie de quelqu’un/quelque chose/de la nature
▬ Particularités : Dès qu'elle voit quelqu'un, elle accourt lui faire un câlin.
Il était une fois...

Son corps était allongé par terre, gisant sur l’asphalte. Corps cadavérique sur toile noire. Le sang s’écoulait des blessures tel des larmes, comme si le corps pleurait sa propre mort, sa vie perdue, son amour laissé derrière. Le ciel faisait son deuil. Goutte à goutte la pluie purifiait l’homme. Goutte à goutte elle pleurait la perte d’un être aimé. Au bout du téléphone on entendait seulement une personne hurler un prénom : « … ». Puis plus rien. Bip bip bip. Le téléphone s’était raccroché. Bip bip bip. Son cœur s’était arrêté.

Les sirènes hurlaient dans toute la ville faisant de l’ombre aux lampadaires. Un camion rouge sang apparu comme sorti des enfers. Taché du sang des hommes perdus, taché du sang des hommes blessés, taché de la violence humaine. Ils enfournèrent le cadavre dans les tréfonds du camion. Il partait pour ne plus jamais revenir. Une fleur s’échoua sur le lieu du crime. Portée par le vent, elle était la dernière révérence.

Elle le tenait dans ses bras, doucement, comme une mère tiendrait son enfant qui pleure. Il pleure. Il pleure la mort de son amant. Elle pleure. Elle pleure la mort de l’être aimé et d’un cœur brisé qui ne saura plus aimer. Il s’endort dans ses bras et glisse lentement dans les bras d’Hadès. Rejoindre. Le rejoindre. Une flaque de sang se forme autour de la femme. Il l’avait rejoint. Elle était seule à pleurer deux êtres aimés. Le visage vers le plafond elle pleurait à en être desséchée. Elle hurlait la souffrance de son cœur à n’en plus avoir de voix. Seule assise dans le noir, tenant le cadavre dans ses bras, teintée de sang.

Ils vécurent heureux et...

Témoignage d’Elloy~
« Magena ? Je l'adore cette fille. Je crois que... c'est l'une de mes amis les plus proches ici. Faut dire, même si elle n'a pas de voix à proprement parler, elle a, comment dire, développé un nouveau langage. Pas le langage des signes. Je dirais le langage du corps. Oui, elle est très affective. Toujours à vous prendre par le bras, à vous emmener quelque part. Et en plus de ça, elle est super serviable ! Jamais vu quelqu'un pareille. Sérieusement. Je me rappelle la première fois que je l'ai vu. Je m'occupais des animaux, comme d'habitude -je les aime ces petites bêtes- et j'ai entendu du bruit. Au départ, j'ai pensé que c'était encore quelques enfants qui venaient jouer avec eux, mais en fait, une jeune fille est apparue. Toute apeurée et penaude. Je ne l'avais encore jamais rencontrée. Je me suis dirigé vers elle d'abord gêné. Il faut comprendre, je n'allais pas la prendre directement dans les bras, même si Espérance est un lieu chaleureux, on ne peut pas pousser trop loin non plus. Enfin, je me suis approché mais c'est elle qui est venu contre moi. On aurait dit que j'étais sa bouée de secours. Je ne sais toujours pas, en tout cas, je ne l'ai pas repoussée. J'ai plutôt essayé de la réconforter comme je le pouvais. J'en ris maintenant, quand j'y repense. Je ne comprenais pas pourquoi elle ne répondait à aucune de mes questions. Les débuts ont été difficiles, mais comme je l'ai dit, le contacte est vite passé, toute gentille qu'elle est. Sachez que je l'aime cette petite. C'est ma Magena à moi. Et je vous défends de lui faire du mal ! Même si, en réalité c'est impossible de lui en faire. À peine vous vous approchez d'elle qu'elle vous saute au cou. Bref, si vous avez besoin d'une oreille attentive, des sourires chaleureux, des câlins à foison... passer un bon moment, allez la voir. Elle saura vous aider. Ne soyez surtout pas rebuter par son côté affectif, d'ailleurs, c'est ce qui la rend touchante. Ma Magena est géniale quoi. »


Revenons plus en détail sur son arrivée, sur un passage de sa vie, un passage qui changea son état entre son arrivée et sa vie au foyer. Prenons les événements du point de vue de notre demoiselle aux câlins.
Quelques bruits bourdonnaient dans ses oreilles, quelque chose lui chatouillait le corps. Où était-elle allongée ? Elle ouvrit les yeux pour découvrir un ciel bleu parsemé de quelques nuages blanc. Essayant de rassemblé des éléments, essayant d’assemblé le puzzle aux pièces manquantes de sa mémoire, elle resta ainsi pendant un moment indéterminée. Mais seulement quelques bribes d’une de souvenirs lui parvenaient. Une ombre s’approcha d’elle et couvrit le soleil. Bientôt elle se retrouva avec un animal au-dessus d’elle. Elle se roula sur le côté, pour ne pas se prendre l’animal en se relevant…mais que faisait-il là ? « Où suis-je ? », voulut-elle se demander à haute voix. Mais aucun son. Aucun son n’avait franchi ses lèvres. Silence. Que se passait-il ? Elle pouvait parler avant, d’après ses souvenirs …qu’avait-il bien pu se passer ? Avait-elle vraiment pleuré et crié à en perdre la voix ? Que lui était-il arrivé ? Elle commença à prendre peur. Où était-elle ? Où ? Où ?! Un rêve ? Une réalité ? Elle se leva brusquement. Des landes inconnues à portée de vue. Un bâtiment au loin. On se croirait dans ces rêves où nous sommes seul au monde, tu as beau appelé, personne ne répond. Encore faut-il pouvoir appeler, crier.

Des animaux. Pleins. Ils faisaient du bruit eux. Pas comme elle, qui ne pouvait même pas prononcer une voyelle. Quelqu’un. Il s’approche. Pas assez rapidement. Elle courut presque pour séparer la distance qui les séparait et l’enlaça de ses deux bras. Un torse chaud et matériel, un cœur qui bat. Tout semblait réel. Il semblait réel. Quelqu’un. Soulagée mais paniquée à la fois. Elle était dans un monde inconnu, elle avait perdu sa voix, elle ne pourrait plus parler. Elle ne pourrait plus communiquer tout ce qu’elle voudrait. Elle serait coupée des autres. Elle ne pouvait pas s’imaginer coupée des autres, elle aimait ça.
Et il était là. Il était au moment où elle se croyait coupée de tout. Et lui. Il parlait. Il posait des questions. Des questions auxquelles elle ne pouvait répondre. Oh qu’elle souhaitait parler, qu’elle souhaitait communiquer avec lui. Mais elle ne le pouvait pas. A la place, elle l’écoutait attentivement, elle s’était calmée. Douce voix.

Après ça, il l’emmena dans une fermette appelé le foyer, il y avait toute sorte de personnes là-bas. Une grande famille. Des personnes qui parlaient, d’autres un peu moins. Mais d’un certain côté ils semblaient heureux d’être ici. Alors pouvait-elle l’être aussi ? Sans sa voix ? Sans moyen de communiquer. Perdue. Oui elle le pouvait. Elle devait changer de « voix ». Elle ne devait pas se cramponner, s’attacher au passé, un passé incomplet. Une période lointaine. Evolution. Si elle ne pouvait pas communiquer en parlant, elle communiquerait avec son corps. Le corps, une « voix » pour exprimer, il réagit aux moindres pensées de son maître. Tu es heureuse, il sourit, tu es triste, il pleure, et bien plus. Le corps est une merveille en soi. Expression.

Rapidement, elle s’adapta à la vie du foyer. Elle s’adapta à sa nouvelle « voix ». Elle passait son temps avec diverses personnes, elle aimait passer du temps avec les autres en restant proche d’eux, câlin ou tenant le bras. Elle les écoutait parler. Elle écoutait la voix de chacun. Elle écoutait tout. Elle aidait aussi, champs, fermette. La diversité est telle qu’on n’a pas le temps de s’ennuyer. Elle passait du bon temps ici. Heureuse.
Et il y avait Elloy. C’est avec lui qu’elle avait le plus « évolué », même s’il pouvait y avoir encore des petits problèmes de communication. Mais elle l’aimait son Elloy. Si gentil. Et il est celui qui est toujours là au bon moment. Enfin, c’est ainsi qu’elle le voit. Les câlins les plus affectueux lui sont d’ailleurs réservés, rien qu’à lui.
Et le reflet. Elle craignait d’y aller... Elle était seule, sans moyen de communiquer. Isolée. Elle avait besoin de communiquer. Elle avait besoin de sentir les autres.

La princesse eût par ce moyen toutes les perfections inimaginables...

Le caractère. Chose peu facile à définir. Changeant et incertain. A chaque rencontre il prend le risque d’être différent. Peu ou point de personnes restent identiques face à une peuplade d’interlocuteurs. Mais prenons les grandes lignes, celles qui mutent le moins. Celles qui restent au-delà des préjugés, celles que nous ne prenons pas la peine de cacher aux autres.

Sourire aux lèvres, elle s’approche derrière vous. Belle journée. Elle ouvre grand ses bras et vous saute dessus en vous embrassant. Un léger baiser sur la joue. Bonjour. Que voilà une charmante jeune fille. Attention, tout le monde a le droit au même traitement, avec plus ou moins d’intimité, que vous aimiez ça ou non. Vous venez de vous croiser ? Ne vous quittez pas si vite ! La demoiselle apprécie, plus que tout, la compagnie et elle ne vous lâchera pas de sitôt ! Elle vous tiendra le bras ou la main et vous écoutera parler, elle écoutera votre cœur chanter au rythme des battements. Elle vous répondra par différentes réactions, les réactions de son corps. Le corps ne peut pas mentir, on y décèle toujours une trace de vérité, quel que soit les artifices utilisés.

Ecouter. Parler. Elle aime écouter les autres parler de tout et de rien, de choses importantes et sans importance. Elle est votre confidente. Muette comme une tombe. Vous n’avez rien à craindre d’elle, d’une part elle ne divulguera rien sur vous, d’autre part elle n’utilisera pas, contre vous, ce qu’elle sait sur vous. (Vous vous powa~) Une sorte de secret professionnel.

Toucher. Il faut bien l’avouer que, le toucher, comme seul et unique moyen de communication, ne lui offre pas de nombreuses manières pour s’exprimer et peut être sujet de multiples confusions et maladresses. Mais c’est ainsi qu’elle veut se faire aimer des autres. Qu’elle veut les rendre heureux, elle veut communiquer sa joie, son bonheur. Et ça, seul son corps peut l’exprimer à défaut de paroles. Bien qu’elle puisse écrire, elle ne le fait pas souvent. Il y a ce quelque chose qu’elle n’aime pas dans les mots écrits, elle ne peut pas joindre ses sentiments aux mots écrits, elle ne peut pas retranscrire ses sentiments. La voix des mots écrits n’est pas assez forte, pas assez intense. Elle a donc choisit le langage du corps aux mots écrits, son corps lui parle plus que ces derniers.

Par ailleurs, vous ne la verrez jamais seule. Compagnie. Vous ne la verrez jamais seule, homme, femme, nature, objet inanimé ; tant qu’elle communique. Communiquer avec la nature ou un objet inanimé ? Bien sûr. Pour elle, tout a une âme, c’est donc en s’occupant du corps de cette âme qu’elle communique avec. Voyez une fleur, si on s’en occupe, pour exprimer son bonheur elle se portera bien, si on ne s’en occupe pas, pour exprimer sa tristesse elle fanera. Magena est comparable à ces fleurs, elle communique par son corps tout ce qu’elle pense. Donc lorsqu’elle s’occupe de quelque chose, elle communique avec, elle regarde son état, elle fait tout pour le rendre heureux. Pour elle, humain, nature, objet, tout est sur un pied d’égal, tous ont le droit d’être heureux.

Bien qu’il lui arrive parfois de faner lorsqu’elle se retrouve sans présence humaine, elle pleure sans savoir pourquoi exactement, elle tremble, elle se recroqueville sur elle-même souffre d’un mal dont elle ne peut déterminer l’origine, comme si on lui avait poignardé le cœur. Quelque chose. Quelque chose était gravé dans son corps et dans son cœur, quelque chose que même l’absence de souvenir ne pouvait effacer. Elle avait beau être joyeuse la plupart du temps, elle avait aussi ses moments sombres mais cela elle essayait de le cacher aux autres. Pour les autres, Magena c’est la fille joyeuse qui fait des câlins à foison.

On ne trouve guère un grand esprit qui n'ait un grain de folie.

La communication est quelque chose d’important pour les humains, elle leur permet de se comprendre, d’exprimer leurs opinions, leurs sentiments, leurs plus profondes pensées. Même si les mots peuvent être source de bien des mensonges, d’artifices. Malgré cela, certaines personnes ne peuvent se passer de cette communication et quel qu’en soit la forme. On vous prive de la parole ? Alors écrivez. Mais vous ne pouvez ou ne voulez pas écrire, alors utilisez votre corps. C’est ce qu’a fait Magena, pour elle, les mots écrits n’arrivent pas à retranscrire ses mots, alors elle utilise son corps comme moyen de communication après avoir été privée de la parole. Communiquer n’est pas un simple désir pour elle, non, elle éprouve le besoin de communiquer, car sans communication il peut se passer bien des problèmes, des malentendus. Sa plus grande crainte est donc de ne plus pouvoir communiquer et par conséquent on peut y voir une certaine forme de la peur de la solitude. Ce qui peut l’amener à être trop envahissante pour certaines personnes, elle est là, toujours accrochée à vous, ne prononçant pas un mot mais en disant long dans ses gestes. C’est dans cette façon d’être qu’elle vainc sa peur, mais c’est aussi dans cette façon d’être qu’elle fuit sa peur.

Que se cache-t-il sous ce parapluie noir, derrière ces long fils colorés qui en font le tour ? Voici l’apparence dans le rêve. L’apparence de ce qui la tourmente, de cette peur de ne pas pouvoir communiquer. Isolée. Elle est sous ce parapluie, mais il l’isole des autres et la coupe de toute communication. Elle ne l’aime pas ce parapluie, mais elle n’arrive pas à s’en défaire.

Miroir, miroir dis-moi qui est la plus belle ?

Fille du soleil. Rougeoyante. Le feu.
Tel la lave, ses longs cheveux roux coulent le long de son corps, ils suivent les courbes, débouchent par-ci et par-là. Chaotique. Elle ne sait les dompter, ils sont libres, ils parcourent les courants d’air, ils sont tel les flammes des bûchers, se ravivant à chaque vent. Des flammes captivantes. Chaleureuses. Douces. Veloutées. Ne se brûle point celui qui y passe ses doigts, bien au contraire il prendra plaisir à y repassé plus d’une fois. Et ce n’est pas la demoiselle qui refusera, si elle était un chat, elle ronronnerait ; mais elle n’en est pas un, à la place elle s’installera confortablement contre vous. Des flammes qui captivent au point d’oublier, de passer à côté de son corps. Et pourtant ! Elle n’est ni fétiche ni de petite taille, un corps équilibré qui ne fait pas moins d’un mètre soixante-dix-huit. Peut-être un peu trop grand, elle n’aime pas se sentir trop grande, elle préfèrerait être plus petite pour se loger plus facilement dans la chaleur ou la fraîcheur des poitrails. Que de longues jambes, que de longs bras qui vous entoure de leur chaleur, il faut l’avouer que c’est le seul avantage qu’elle trouve à cette taille. Elle vous entoure de ces bras où circule ce liquide rouge et chaud, ces bras qui aiment sentir la fraîcheur des autres.
On dit que l’absence d’un sens développe les autres. Muette. Elle a principalement développé son sens du touché, ce qui lui a permis de développer un de ses seuls moyen de communication. Magena n’écrit pas, elle communique donc par le touché, une caresse, un câlin, un bisou, plus ou moins intime, plus ou moins doux. Bien des sentiments peuvent passer par les bras et par les mains. Des mains empreintes de douceur malgré quelques callosités dues au travail à la fermette. Mais elle est loin de détester ça, bien au contraire. Ces mains montrent ce qu’elle aime. Des mains messagères.

Son "chant" a changé de "voix".

Fille de la lune. Blanche. La pierre.
Point d’être-vivant sans carapace. Ses flammes soulignent une peau quelque peu contrastée, d’une pâleur de lune, aurait-elle déteint sur elle à sa naissance ? Amérindienne bien pâle. Mais cette pâleur ne fait que ressortir les traits de son corps, de son visage, ovale. Des sourcils flamboyant qui soulignent des yeux verts en amande, amande amer, pâle. Un nez fluet qui débouche sur des lèvres légèrement pulpeuses, sans teinte particulière. Des lèvres muette, une pierre serait peut-être plus bavarde, une pierre tombale peut-être ? Depuis combien de temps le son a-t-il franchit cette frontière ? Pas un son, pas un mot, pas une phrase, pas un chant, pas un sentiment…

Vestimentaire. Pas pudique pour deux sous, toujours chaude (sans mauvais jeu de mot), autant dire qu’elle est la plus grande part du temps que peu vêtue. J’entends par là, tout hauts à brettelles, ventre libre aux caresses du vent et tout bas ne dépassant pas la mi-cuisse. Ce n’est pas pour autant que cela paraît vulgaire sur elle. Bien au contraire, ces vêtements lui siéent à merveille, d’après elle, il faut dire que plus long sont ses vêtements, plus elle a chaud. Et elle a déjà assez chaud en petite tenue, elle ne supporterait pas plus en temps normal. Ils montrent également sa légèreté, mettent en valeur sa peau, qui elle-même par la même occasion va mettre en valeur sa chevelure flamboyante. Aux températures hivernales, les manches s’allongent pour laisser place aux gilets et pantacourts…mais pas plus long.

Elle était entourée d'innombrables amis.

Elloy ▬
Blablabla
Taima ▬
Ce n’est pas parce qu’elle refuse un avant pour elle qu’elle ne peut pas écouter Taima parler, tous les deux indiens elle aime écouter ce qu’il raconte et le comprend. En privé ils s’entendent dirons-nous « bien » mais une fois qu’il y a le facteur « autre personne que eux deux » il la rejette purement et simplement mais ce n’est pas bien grave pour elle, dans un certain sens c’est « mignon ».
Domi ▬
Magena c'est le sucre sur le pamplemousse pour Domi. Des caractères opposés mais elles sont bonnes amies. Elle envie un peu le côté courageux de Domi ou tout simplement ce caractère fort qu'elle a en général car c'est ce qui lui manque mais c'est ce qui d'elles des personnes complémentaires. Quand elle passe en ville Magena passe toujours un peu de temps avec Domi que ce soit en ville ou à la boucherie.
Fioccolino ▬
zegtrny,uy
Alexandre ▬
errtuyhref
Hyo (prédéfini) ▬
dsgrytdr-u,;,dr
Minimum de 2 relations.

De l'autre côté du miroir...

▬ Prénom/Pseudo : Magena/Mana
▬ Âge : 18 et déjà le permis Cool
▬ Où as-tu connu Je de l'âme ? Je pense avoir passé assez de temps dessus à le rendre joli pour le connaître depuis...le début ♥️
▬ Comment le trouves-tu ? Je vais pas dire du mal de mes codages voyons ♥️
▬ Expérience en RP : Euuuuuuuh...ouais ça doit toujours être un ou deux ans cumulé...
▬ Présence : Everyday ! (pour le moment)

La demoiselle aux câlins ~ Magena [Terminé]

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